Singulier | Pluriel |
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défusion | défusions |
\de.fy.zjɔ̃\ |
défusion \de.fy.zjɔ̃\ féminin
C’est précisément cette absence de reconnaissance constitutionnelle qui a permis au Parti québécois de fusionner plusieurs municipalités malgré une vive opposition au début des années 2000. Outre un ensemble de facteurs et de circonstances, cet épisode de « fusions forcées » a notamment contribué à l’élection du Parti libéral du Québec en 2003, celui-ci promettant des référendums de défusion pour attirer le vote des électeurs habitant dans les municipalités mécontentes de cette réforme.— (Jonathan Durand Folco, « Les villes contre la Constitution canadienne? », in Argument, vol. 19, n° 2, printemps-été 2017, page 43)
Selon la loi sur la défusion des municipalités suburbaines qui a structuré le conseil d’agglomération, .— (Robert Frank, Montréal frappe Kirkland avec une hausse d’impôts, Kirkland Journal, 16 février 2022, page 2)
→ voir fusion
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