dénudable

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Étymologie

(1845)[1] Dérivé de dénuder, avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
dénudable dénudables
\de.ny.dabl\

dénudable \de.ny.dabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui peut être dénudé.
    • Si la plaie dépasse 5 millimètres, il faut faire la suture veineuse ou la ligature totale au-dessus et au-dessous ; si le tronc veineux est facilement accessible, dénudable, s’il importe beaucoup de conserver sa perméabilité la suture veineuse devra être faite d’après les règles que nous avons indiquées ; — (Jean François Auguste Le Dentu et Pierre Delbet (dir.), Traité de chirurgie clinique et opératoire, J.-B. Baillière et fils, Paris, 1897)
    • Nous étions nous aussi des danseuses dénudables, offertes à leur bon plaisir, et ils avaient le droit de nous déshabiller en pensée. — (Benoîte et Flora Groult, Le Féminin pluriel, Denoël, Paris, 1965)
    • Les mots sont comme les successifs linceuls de la chose même : ils la conservent tout en la voilant et l’enveloppant d’un pli si fin qu’elle devient, pour elle-même, indiscernable, jamais dénudable entièrement, sans restes. — (Marc Froment-Meurice, C'est-à-dire. Poétique de Heidegger, Galilée, 1996, page 58)

Traductions

Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 110.