dépendeur d’andouilles

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot dépendeur d’andouilles. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot dépendeur d’andouilles, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire dépendeur d’andouilles au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot dépendeur d’andouilles est ici. La définition du mot dépendeur d’andouilles vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition dedépendeur d’andouilles, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

Composé de dépendeur et de andouille.

Locution nominale

Singulier Pluriel
dépendeur d’andouilles dépendeurs d’andouilles
\de.pɑ̃.døʁ dɑ̃.duj\

dépendeur d’andouilles \de.pɑ̃.døʁ dɑ̃.duj\ masculin

  1. (Sens figuré) (Ironique) Personne dont la seule qualité est d’être assez grande pour décrocher ou dépendre les andouilles.
    • Les dépendeurs d’andouilles du progrès indéfini et les rouflaquiers de la politique ne semblent pas faits pour prodiguer la consolation et leurs ressemelés boniments ne peuvent avoir, sur l’homme rare non atteint de jobardisme, qu’une action purement détersive. — (Léon Bloy, Sur la tombe de Huysmans, collection des Curiosités Littéraires, 1913, page 16)
    • Il exécrait Rochefort, lequel de son côté, le tenait pour « un grand abruti, oui, oui, mais allons donc, un dépendeur d’andouilles et pas autre chose… » — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Salons et Journaux, Grasset, 1917, réédition Le Livre de Poche, page 260)
    • Vincent Rémon était un grand dépendeur d'andouilles un peu myope et pas toujours bien malin. Il regarda Salviat avec un sourire en coin. — (Béatrice Bottet, Le Grimoire au Rubis, vol. 4 : Val-d'Enfer, éd. Casterman Jeunesse, 2010, chapitre 12)
    • Gabriel Morange ravala sa salive. Les « morveux », il en avait soupé, et si la situation n’avait pas été aussi dramatique, il lui serait bien rentré dans le chou à ce grand dépendeur d’andouilles ! — (Philippe Morvan, Ours, Calmann-Lévy, 2018)

Traductions