dépistable

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot dépistable. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot dépistable, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire dépistable au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot dépistable est ici. La définition du mot dépistable vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition dedépistable, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

(1845)[1] Dérivé de dépister, avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
dépistable dépistables
\de.pis.tabl\

dépistable \de.pis.tabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui peut être dépisté.
    • Le fumeur d’un seul « joint » est dépistable dans un délai de quelques heures à plus d’une semaine selon sa qualité — (Jean-Pierre de Mondenard, Dictionnaire du dopage , Éditeur Elsevier Masson, 2004)
    • Le GHB est dépistable dans le sang dans certains laboratoires d’analyses spécialisés. Il est présent pendant moins de 12 heures dans les urines et quelques heures dans le sang. — (Claire Lewandowski, GHB : effets, composition, test dans le sang, overdose, sante.journaldesfemmes.fr, 29 mars 2021)
    • Il s’agit d’un pistolet semi-automatique fabriqué à partir d’un châssis « artisanal » de marque Polymer80. « Le but de cette fabrication, c’est d’avoir une arme qui ne sera pas dépistable et qui va devenir une arme à feu fantôme, un ghost gun », explique Marc-André Dubé. — (Louis-Samuel Perron, Une centaine de fusillades à Montréal en 2021, lapresse.ca, 1er septembre 2021)

Apparentés étymologiques

Traductions

Prononciation

  • Somain (France) : écouter « dépistable  »

Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 113.