Singulier | Pluriel |
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déprofessionnalisation | déprofessionnalisations |
\de.pʁɔ.fɛ.sjɔ.na.li.za.sjɔ̃\ |
déprofessionnalisation \de.pʁɔ.fɛ.sjɔ.na.li.za.sjɔ̃\ féminin
L’exemple ultime de cela, c’est Twitter, où vous trouvez tout et n’importe quoi. Tout cela exige une prudence et un travail de vérification de la part des internautes, qui malheureusement n’ont pas le temps ou pas la compétence pour l’effectuer. En ce, la déprofessionnalisation de l’information a quelque chose de pernicieux.— (« Albert du Roy, son “Heure de Vérité” sur ceux qui gouvernent la France », laLibre.be, 26 mai 2013)
Elles sont synonymes de « dégradation des conditions de travail », de « déprofessionnalisation inhérente à la disparition de la formation initiale », d’« augmentation et regroupement des effectifs » et de « déficit en matière d’accompagnement et de suivi des élèves dans leur diversité ».— (« Pour la CGT, “l’avenir de l’école est en péril” », LePoint.fr, 1 septembre 2010)
Au Québec, la déprofessionnalisation de certains actes médicaux permet de déléguer, suite à formation par un professionnel reconnu (infirmier / infirmières), à du personnel non professionnel (préposé aux bénéficiaires, auxiliaires de santé et de services sociaux), certains actes tels applications de crème médicamenteuse, gouttes ophtalmologiques, application de timbre antidouleur.