Singulier | Pluriel |
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dévoûment | dévoûments dévoûmens |
\de.vu.mɑ̃\ |
dévoûment \de.vu.mɑ̃\ masculin
Oh ! monsieur, les dévoûments de la femme sont sublimes !— (Honoré de Balzac, Le Médecin de campagne, 1833, édition de 1845, chapitre quatrième)
Le dévoûment est rare, surtout sans solde, sans espérance, comme le concevait Modeste.— (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
— Tenez, je vous crois ; vous avez l’air d’un brave jeune homme. D’ailleurs votre fortune est peut-être au bout de votre dévoûment.— (Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, 1844, réédition Les Classiques de Poche, page 195)
On ne peut pas demander à un gendre le dévoûment qu’on est en droit d’attendre d’un fils.— (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
Il en est un pur et calmant,— (Maurice Rollinat, « Les Frissons », Les Névroses, 1re partie « Les Âmes », Fasquelle, 1917 (1re éd. 1883), page 8)
C’est le frisson du dévoûment
Par qui l’âme est secrètement
Récompensée ;