Singulier | Pluriel |
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dilatation chimique | dilatations chimiques |
\di.la.ta.sjɔ̃ ʃi.mik\ |
dilatation chimique \di.la.ta.sjɔ̃ ʃi.mik\ féminin
Ce phénomène appelé « dilatation chimique induite » est d’autant plus important que l’atmosphère environnant le matériau est réductrice . On considère alors, une dilatation purement thermique à basse température () et une dilatation thermique à laquelle s'ajoute une « dilatation chimique induite » à haute température. La température dépend de la formulation du matériau, de la pression partielle d’oxygène mais également de la vitesse de montée en température.— (Aurélie Julian, Élaboration par coulage en bande et cofrittage de réacteurs catalytiques membranaires multicouches-performances, thèse de doctorat, Université de Limoges, 2008 → lire en ligne)
Comportement mécanique du béton. Littérature : le mécanisme de gonflement le plus utilisé dans les modèles de réaction sulfatique est le mécanisme de dilatation chimique. L'expansion est proportionnelle à la fraction volumique d’ettringite dans le milieu poreux. Expérimentalement, il est observé une précipitation d’ettringite au sein des fissures pouvant être une source de gonflement. Enfin, le comportement du béton est visco-élastique ce qui impacte la réponse mécanique du matériau aux déformations différées. Modélisation : un modèle visco-poro-mécanique basé sur le mécanisme de dilatation chimique de est retenu.— (Adrien Socie, Modélisation chimio-mécanique de la fissuration de matériaux cimentaires: vieillissement et tenue des enceintes de confinement des centrales nucléaires, thèse de doctorat, Université de Montpellier, 2019 → lire en ligne)