doomscrolling \dum.skʁo.liŋ\ masculin
Les gens souffrant de « doomscrolling » ne peuvent pas s’empêcher de regarder les dernières nouvelles, sur les réseaux.— (Salomee, « Qu’est ce que le « doomscrolling » , le mal du 20ème siècle ? », letribunaldunet.fr, 12 juillet 2020 → lire en ligne)
Un “doomscrolling” excessif peut avoir un impact néfaste sur la santé physique et mentale.— (« Le “doomscrolling” ou la navigation compulsive et ses effets néfastes », francesoir.fr, 29 juin 2020 → lire en ligne)
Ceci dit, pour comprendre ce qui (nous) pousse à ce «défilement morbide» (appellation québécoise du doomscrolling), il faut apprendre les ressorts de l'économie de l'attention, saisir finement quels sont les processus qui nous traversent lorsqu'on est confronté aux stratégies mises en œuvre par les industries du numérique (dark pattern, design émotionnel, notamment).— (Anne Cordier, Entre culpabilité et stratégies, les ados face au «doomscrolling», Slate, 10 juillet 2024)
Pour ne pas sombrer dans le doomscrolling, elle se déconnecte régulièrement de Twitter.— (Alice Huot, « Le doomscrolling, ce nouveau mal qui nous ronge », ladn.eu, 22 juin 2020 → lire en ligne)
doomscrolling \duːm.skɹoʊl.ɪŋ\
Taking a break from doomscrolling and being inundated with things and stuff. I'll be back tuesday or something. Here's a thing I'm making.— (@Callamitys sur Twitter, 7 octobre 2018 → lire en ligne)