droit à l’erreur \dʁwa a l‿ɛ.ʁœʁ\ masculin
En conclusion, le rapport plaide pour « un droit à l’erreur » pour les bénéficiaires de prestations sociales, « une solution opportune de nature à garantir un meilleur respect de leurs droits face à la lutte contre la fraude ».— (Raphaëlle Besse Desmoulières, Prestations sociales : les « dérives » de la chasse à la fraude sur LeMonde.fr, Le Monde. Mis en ligne le 7 septembre 2017, consulté le 19 septembre 2017)
Le droit à l’erreur n’existant plus, la sélection « en amont », c’est-à-dire au lycée, risque de se renforcer ; et avec elle le sentiment d’exclusion pour une partie de ceux qui rêvent de « faire médecine ».— (Pascal Galinier, En médecine, une prépa publique veut rompre avec le déterminisme social, Le Monde. Mis en ligne le 10 septembre 2018)