Singulier | Pluriel | |
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Masculin | définitionnel \de.fi.ni.sjɔ.nɛl\ |
définitionnels \de.fi.ni.sjɔ.nɛl\ |
Féminin | définitionnelle \de.fi.ni.sjɔ.nɛl\ |
définitionnelles \de.fi.ni.sjɔ.nɛl\ |
définitionnel \de.fi.ni.sjɔ.nɛl\ masculin
Les traits conceptuels qui caractérisent un concept sont « traduisibles » en éléments définitionnels qui constituent, à leur tour, le schéma définitionnel. Ce schéma, qui montre les relations entre les traits constitutifs de ce concept, est « l'élément médian entre le terme et le concept » (Thoiron, 1995a : 1). À partir du schéma définitionnel sont rédigées les différentes définitions terminologiques possibles, ou même encyclopédiques, et la forme linguistique qui désignera le concept pourra alors être créé.— (Manuel Célio Conceição, « Terminologie et transmission du savoir : (re)construction(s) de concepts, dans Sémantique des termes spécialisés », numéro dirigé par Valérie Delavigne & Myriam Bouveret, Publications Université de Rouen/CNRS, 1999, page 33)
Comme le relève Rainer Rochlitz, tous font pourtant face à la même aporie :— (Viviane Paradis, « Postmodernisme : à propos de quelques incidences contemporaines », 1ére partie de :Groove: enquête sur les phénomènes musicaux contemporains : mélanges à la mémoire de Roger Chamberland, textes rassemblés par Serge Lacasse & Patrick Roy, Presses Université Laval, 2006, p. 58)
Depuis la fin du modernisme «dogmatique», il n'existe plus de limite définitionnelle de l'art, tout comme il n'existe plus de hiérarchie a priori entre différents arts. Les limites définitionnelles de l'art se référaient avant tout à des idées normatives sur les différents genres artistiques et pouvaient justifier l'exclusion de certains candidats au « monde de l'art ».