Singulier | Pluriel | |
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Masculin | dépravé \de.pʁa.ve\
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dépravés \de.pʁa.ve\ |
Féminin | dépravée \de.pʁa.ve\ |
dépravées \de.pʁa.ve\ |
dépravé \de.pʁa.ve\
Dans le nombre de ces Parisiens accusés d’être si spirituels, il s’en trouve qui se croient infiniment mieux en uniforme que dans leurs habits ordinaires, et qui supposent chez les femmes des goûts assez dépravés pour imaginer qu’elles seront favorablement impressionnées à l’aspect d’un bonnet à poil et par le harnais militaire.— (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
Carel me parla d'une querelle entre eux, Rembrandt me traitant de prostituée, de soiffarde dépravée, alors Carel l'a frappé. Il l'a frappé... Pour moi.— (Alex Connor, La trahison de Rembrandt, traduit de l'anglais par Francine Sirven, Éditions Prisma, 2012)
Voir la conjugaison du verbe dépraver | ||
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Participe | ||
Passé | (masculin singulier) dépravé | |
dépravé \de.pʁa.ve\
Moins surveillé par David à Angoulême, soit que plus âgé il inspirât plus de confiance à son mentor, soit que l’imprimeur comptât sur l’influence de la province, Cérizet était devenu, mais à l’insu de son tuteur, le don Juan en casquette de trois ou quatre petites ouvrières, et s’était dépravé complètement.— (Honoré de Balzac, Illusions perdues, troisième partie : Les Souffrances de l’Inventeur)