Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot e. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot e, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire e au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot e est ici. La définition du mot e vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition dee, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
(Physique) Symbole de la charge élémentaire. S'écrit alors 𝒆, en italique, en tant que symbole de grandeur physique.
la charge élémentaire, e, est égale à 1,602 176 634 × 10−19 C— (Le système internationale des unités 9e édition, page 13, 2019 → lire en ligne)
Symbole 3
eErreur sur la langue !
(Linguistique) Symbole de l’alphabet phonétique international pour la voyelle mi-fermée antérieure non arrondie ou voyelle moyenne supérieure non arrondie.
Grâce à notre partenaire Google Books, nous avons pu procéder à une analyse approfondie de la rentrée littéraire française. En voici les grandes tendances, après numérisation et traitement des 659 nouveaux romans de l’automne. Alphabet : la lettre « e » apparaît 64,5 millions de fois, en net repli sur la rentrée 2008 (72,8 millions). Le plus bas historique date de 1970 : les occurrences romanesques du « e » étaient tombées à moins de 59 millions, sans doute sous l’influence de Georges Perec qui avait publié la Disparition quelques mois auparavant. Il est vrai aussi qu’on éditait moins de livres à l’époque. Fait singulier : les rentrées à faible taux de « e » sont en général suivies d’hivers doux.— (Édouard Launet, Sodome et Garamond, Libération, 17 septembre 2009)
La valeur de e a été indiquée dans les tableaux Excel ci-dessus, et la propriété précédente précise que e est la base du logarithme népérien.— (Alain Forcioli, Bernard Rapidel et Michel Viguier, Mathématique et statistique de l’entreprise, page 184, 1997, ISBN9782804126339)
(Conjonction) Selon Opel, issu du albanais *ō(d), de l'indo-européen commun *ēd ~ *ōd (racine à l'ablatif singulier de l'indo-européen commun *ē- ~ *ō-).
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François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
(Brusseleer) Un, une. Note d’usage : devant un substantif neutre singulier.
Références
Sera de Vriendt, Grammatica van het Brussels, Koninklijke Academie voor Nederlandse Taal- en Letterkunde, Brussels, 2003, 110 pages, ISBN9789072474513, page 9
(Adjectif possessif et pronom personnel) Correspond à un ancien génitif masculin du démonstratif celte *emo-, cf le sanskrit अस्य asya (« de lui »). À comparer avec le gallois ei (« son, à lui »), le vieil-irlandais a (« son, sa, ses »).
(Préposition) De en avec perte de la nasale. À comparer avec le cornique en, le gallois in devenu yn, le vieil irlandais i n-, le gaulois en-, in-, le grec ancien ἐν, le latin in, le gothique, l’anglo-saxon et l’allemand in (préfixe ein-), etc ; commune à toute la famille, sauf peut-être le sanskrit.
(Particule verbale) À comparer avec le cornique ydh et y, le gallois yd et y, le vieux breton it.
Ober a reas an neuz da zibri e goan gant ar re all, mes ne zaleas ket da vont d’e wele da hunvreal en e arc’hant..— (Lan Inizan, Toull al lakez, Le Goaziou, Kemper, Derrien, Brest, 1930, page 9)
Il fit semblant de manger son dîner avec les autres, mais il ne tarda pas à aller au lit rêver à son argent.
Note : mutation par adoucissement après l’adjectif possessif e.
— . Ha n’eus ket bremañ anezho e Plouvorn, e Gwikourvest, e Gwikar, e Bodiliz, ha zoken marteze e Landivizio ? .— (Lan Inizan, Emgann Kergidu2, Éditions Al Liamm, 1977, page 80)
— . Et il n’y en a plus maintenant à Plouvorn, à Plougourvest, à Plougar, à Bodilis, et même peut-être à Landivisiau ? .
— E piv edos o soñjal ? a cʼhoulennas ar placʼh yaouank.— (Jakez Riou, Geotenn ar Wercʼhez, Éditions Al Liamm, 1957, page 32)
— À qui pensais-tu ? demanda la jeune fille.
Pa’z an war an douar beo am bez-poan e pennou ma daoulin.— (Jules Gros, Le Trésor du Breton parlé - 2 : Dictionnaire breton-français des expressions figurées, Librairie Bretonne Giraudon, 1977, page 40)
Quand je vais sur la terre fraîchement labourée, j'ai mal aux genoux.
Gwisket ganin war ar prim ur bragoù ha gant ur re votoù em zreid, e ticʼhourdis va divrecʼh en ur varailhat e-leizh va cʼhorzailhenn.— (Jarl Priel, Miss Redfern, in Al Liamm, no 58, septembre-octobre 1956, page 13)
Ayant mis prestement un pantalon et une paire de chaussures à mes pieds, je m’étirais les bras en baillant à pleine bouche.
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Note : Cette forme est littéraire voire archaïque, mais on la retrouve de nos jours dans les mots composés et devant des prépositions commençant par une consonne pour faciliter la prononciation. On utilise ez dans tous les autres cas.
E faluban születtem.
C'est dans ce village que je suis né.
Az e heti híreket olvasom.
Je lis les nouvelles de cette semaine.
E mellett a pékség mellett történt meg a baleset. E pékség mellett történt meg a baleset.
L'accident s'est produit près de cette boulangerie.
Eman e traethwn ny o’r swydogyon aruer a’r rey deuawt a uyd e mevn llys.— (Y Cymmrodor, réédition de 1884, 144.187 ; dans George Broderik, « Latin and Celtic: the Substantive Verb », Glotta, 2015)
Il s'agit ici des officiers habituels et de ceux qui, par convention, sont à la cour.
(Gascon) Particule énonciative non traduite en français et qui est utilisée en gascon principalement dans les phrases interrogatives. Cette particule n’est utilisée que dans le sud du domaine gascon. Elle ne s’emploie pas si le mot suivant commence par une voyelle. Elle est parfois utilisée devant le pronom adverbial i.
Florian Vernet, Dictionnaire grammatical de l'occitan moderne selon les parlers languedociens, Centre d’Estudis Occitans, Montpelhièr, 2000, ISBN 978-2-8426-9589-7
Patric Guilhemjoan, Nouvelle grammaire abrégée du gascon, Per Noste, 2006, ISBN 2-86866-048-7
Un, une. Note d’usage : il s’utilise dans le cas général devant un substantif neutre. Si le substantif neutre commence par une voyelle ou un h, l’article indéfini ’n sera utilisé.