effet ’yau de poêle \e.fɛ jo də pwal\ masculin
D’autres à-peu-près sont ceux que l’on pourrait définir comme ayant été engendrés en vertu de l’effet « Yau-de-poêle », l’un des plus solides piliers de notre culture gauloise.— (Claude Gagnière, Le grand bêtisier des mots, Robert Laffont, Paris, 1996, page 44)
Comment vas-tu… yau de poêle ?
Pas mal toi… le à matelas ?
Que se passe-t-il… de menthe ?
Ce sera terminé sous peu… à l’oignon
C’est un peu tard… de 14 juillet
C’est un peu tôt… télégraphique
C’est adorable… de lapin
on connaît bien cette maladie du jeu de mots à outrance, qui ne cesse de sévir dans tant de textes, modernes ou anciens, des lacaniens, plus encore peut-être que chez Lacan lui-même, et qui a été stigmatisé, de façon comique, sous le terme de « l’effet yau d’poêle ».— (Jean Laplanche, Nouveaux fondements pour la psychanalyse, PUF, 2008, page 47)
L’Effet ’Yau de poêle de Lacan et des lacaniens— (François George, L’Effet ’Yau de Poêle de Lacan et des lacaniens, Hachette, 1979)