eisenpecherz

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Étymologie

(1789) De l’allemand Eisen (« fer »), Pech, « poix », et Erz, « terre ». Nom donné par le chimiste, apothicaire et minéralogiste allemand Martin Heinrich Klaproth[1].

Nom commun

Singulier et pluriel
eisenpecherz
\aj.zən.pɛ.ʃœʁtz\

eisenpecherz \aj.zən.pɛ.ʃœʁtz\ masculin singulier et pluriel identiques

  1. (Minéralogie) Variété de gœthite d’aspect mamelonné.
    • La première étoit anciennement connue sous le nom de pechblende, pecherz, eisen pecherz, eisen blende. Werner ayant reconnu à l’aspect et à la pesanteur que ce n’étoit pas une blende, et qu’elle ne contenoit point de zinc, la nomma mine de fer en poix, ferrum ochraceum piceum ; mais depuis il annonça que cette substance étoit une espèce de wolfram. Klaproth, d’après l’analyse qu’il en a faite, l’a nommée uranites sulfuratus, et Emmerling l’appelle schwartz uran erz. — (Cen Lelièvre, « Notice sur l’uranite et sur sa découverte en France », Mémoires de l’Institut national, tome 5, 26 frimaire an VIII (17 décembre 1799))
  2. (Minéralogie) Nom donné à plusieurs autres minéraux.

Traductions

Références

  1. Martin Heinrich Klaproth, « Chemische Untersuchung des Uranits einer neuentdeckten metallischen Substanz », Chemische Annalen für die Freunde der Naturlehre, Arzneygelahrtheit, Haushaltungskunft und Manufacturen, von Lorenz Florenz Friedrich Crell, B. 2, St. 11, 1789, p. 387