Singulier | Pluriel |
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faiseur de Suisses | faiseurs de Suisses |
\fə.zœʁ də sɥis\ |
faiseur de Suisses \fə.zœʁ də sɥis\ masculin
Denis Menoud ne se considère toutefois pas comme un faiseur de Suisses. Il constate simplement qu’aujourd’hui les naturalisés, particulièrement à Genève, où l’on en comptait 3100 l’an passé, «ratent quelque chose» en ne connaissant pas bien les traditions de leur nouveau pays.— (Didier Tischler, Naturalisation : il veut faire de bons Suisses, Le Matin, 06/05/2012)
En tant qu’ancien faiseur de Suisses, on devrait naturaliser les jeunes à partir de 18 ans et non à partir de 6 ans s’ils sont nés en Suisse, naturalisé d’office par l’Etat civil sans passer par la police, on a été confronté avec plein de problèmes avec la génération de guerre des pays des Balkans.— (Roland J., commentaire d’article, 20min.ch, 13/09/2016)
Le droit à la participation politique est nié à des habitant-e-s de ce pays alors qu’ils/elles payent des impôts et toutes les charges sociales. Le droit au mariage n’est pas respecté. Dans la tradition des faiseurs de Suisses, les étrangères et étrangers sont confronté-e-s à une méfiance de principe.— (Solidarité sans frontières (sosf), Droits fondamentaux pour tous. Mêmes droits pour tous., sosf.ch, avril 2017)