Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot forcer. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot forcer, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire forcer au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot forcer est ici. La définition du mot forcer vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deforcer, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
(XIe siècle) Du latin populaire *fortiare, formé sur le bas latin fŏrtĭa (« force »), pluriel neutre substantivé de fŏrtis (« courageux, ferme, brave »).
Ensuite il accompagna le médecin du Zeppelin dans une rue voisine, et força la porte d’une pharmacie où le major choisit les médicaments dont il avait besoin.— (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 304 de l’édition de 1921)
Tu seras étonnée de découvrir cette lettre dans mon coffre, sur un paquet de titres. Il eût mieux valu peut-être la confier au notaire qui te l’aurait remise après ma mort, ou bien la ranger dans le tiroir de mon bureau, le premier que les enfants forceront avant que j’aie commencé d’être froid.— (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 19)
Bernot et Chavilier partirent pour s’engager après avoir forcé la caisse de leurs logeuses.— (Alexandre Vialatte, Fred et Bérénice, Le Rocher, 2007, page 32)
Quelque peu disposé que vous parussiez à accepter la place d’académicien, il a cru vraisemblablement entrevoir dans vos yeux une envie d'y être forcé, et s'est persuadé qu'au moment que vous seriez élu vous ne vous feriez plus prier pour occuper une place qu'on ne pourrait plus vous soupçonner d'avoir recherchée : il s'est trompé et vous l'avez refusée.— (« Lettre XXV de Boileau à M. de Lamoignon, Auteuil, le 7 juillet 1703 », dans les Œuvres complètes de Boileau, tome 4, Paris : chez Philippe, 1837, page 108)
Forcer un cheval, Le pousser trop, le faire courir au-delà de ses forces.
Forcer le pas, la marche, Presser le pas, se mettre à marcher plus vite.
De temps en temps, M. Donis, qui, dans l’ardeur de son exploration, forçait le pas, s’arrêtait pour attendre l’arrière-garde, et alors on le voyait gesticuler avec vivacité, montrer le poing à la mer pour la défier d’aller plus loin et fixer le sable de la main comme pour le solidifier.— (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
; or, on conçoit l'affectueuse et haute estime de tout veneur pour la sagacité de son limier, lorsqu'on songe que, selon cette sagacité, on chasse ou on fait buisson creux , en cela que le limier doit d'abord chercher et trouver l'animal destiné à être ensuite couru et forcé par la meute.— (Eugène Sue, « La meute des petits chiens du Cabinet », chapitre 6 de Latréaumont, 1837, nouvelle édition, tome 1, Paris : chez Charles Gosselin & chez Pétion, 1845, page 169)
(Programmation) Dans certains langages de programmation, instruire le type d’une variable pour quelque chose d’autre que son type original.
En C, il est courant, voire naturel, de forcer un pointeur en un entier et vice-versa.