Singulier | Pluriel | |
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Masculin | foucaldien \fu.kal.djɛ̃\ |
foucaldiens \fu.kal.djɛ̃\ |
Féminin | foucaldienne \fu.kal.djɛn\ |
foucaldiennes \fu.kal.djɛn\ |
foucaldien \fu.kal.djɛ̃\ masculin
Il aurait été sans doute plus simple de « foucaldiser » ma recherche, de ne mettre en avant que ce qui peut se lire en termes foucaldiens et d’y ajouter les citations du « maître ».— (Marie-Christine Granjon, Penser avec Michel Foucault, 2005)
C’est dans la perspective foucaldienne d’une analyse concrète du pouvoir que se situe L’apocalypse joyeuse. L’objectif était d’étudier la régulation, l’imposition et l’acceptation technologique au tournant des XVIIIe et XIXe siècles.— (Jean-Baptiste Fressoz, « Biopouvoir et désinhibitions modernes : la fabrication du consentement technologique au tournant des XVIIIe et XIXe siècles », in Revue d’histoire moderne & contemporaine, 2013/4-5 (n° 60-4/4 bis), p. 122-138)
choisit en 1913 de rester dans le siècle et de se marier, tout en entrant dans la fraternité foucaldienne : l'Union. Durant la Grande Guerre, il suit les conseils de l'abbé et demande à être muté dans les tranchées du front d’Orient, pour endurer les souffrances de l’infanterie coloniale. Et c’est sous les balles de Macédoine qu’il apprend la mort de son « frère aîné ». Lors d’une permission à Paris début 1917, il décide de s’engager corps et âme pour sauver l’Union et « faire survivre » l'héritage foucaldien qui n'intéresse alors personne— (Manoël Pénicaud, « Le rôle de Louis Massignon dans la postérité de Charles de Foucauld », site officiel de l'Église catholique, 10 juin 2020)