Singulier | Pluriel | |
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Masculin | franc-maçon \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\ |
franc-maçons \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\ |
Féminin | franc-maçonne \fʁɑ̃.ma.sɔn\ |
franc-maçonnes \fʁɑ̃.ma.sɔn\ |
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | franc-maçon \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\
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francs-maçons \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\ |
Féminin | franc-maçonne \fʁɑ̃.ma.sɔn\ |
francs-maçonnes \fʁɑ̃.ma.sɔn\ |
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | franc-maçon \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\
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francs-maçons \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\ |
Féminin | franche-maçonne \fʁɑ̃ʃ.ma.sɔn\ |
franches-maçonnes \fʁɑ̃ʃ.ma.sɔn\ |
franc-maçon \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\
Le Roi, ennemi de toutes les guerres, détestait les guerres de religion; ami de toutes les libertés, il laissait les consciences libres, fussent-elles jésuites ou francs-maçonnes.— (Pierre Louÿs, Les aventures du roi Pausole, 1901)
; quand les cléricaux sont les plus faibles dans un pays, il ne manquent jamais de recommander des mesures de sévère réglementation pour se venger de patrons francs-maçons.— (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre V, La grève générale politique, 1908, page 229)
Singulier | Pluriel |
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franc-maçon | franc-maçons francs-maçons |
\fʁɑ̃.ma.sɔ̃\ |
franc-maçon \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\ masculin (pour une femme, on dit : franc-maçonne)
L’indifférence en matière de foi était devenue de règle, car d’hostilité on n’en sentait point trop encore ; à peine sourdait-elle, peut-être, dans quelques propos sacrilèges que les mauvaises langues : francs-maçons, libres-penseurs, anarchistes, parpaillots, ennemis déclarés de Dieu et de ses ministres, brebis galeuses fort rares heureusement dans son troupeau, s’essayaient malicieusement dans l’ombre à propager.— (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
Les adversaires de la Révolution étaient convaincus qu'ils achèveraient de la rendre odieuse, même aux yeux du peuple, s'il arrivaient à faire accréditer cette idée que la Révolution était l'œuvre des juifs alliés aux Francs-Maçons.— (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
Mais Amélie était tout à l’excitation de ce reportage, à l’exhumation du passé, à la rencontre de ces francs-maçons mystérieux, dont elle ne savait guère que ce qu’en racontaient les journaux dans leurs « marronniers » annuels sur les « frères trois points ».— (Jack Chaboud, Le Tronc de la veuve, éditions Dervy, 2014)