Le terme aurait été utilisé pour la première fois par une Anglaise, Jane Deverson, en 1965. Certains affirment qu’à la suite de ses travaux sur cette génération nouvelle dont les valeurs étaient jugées inacceptables (individualisme, athéisme, relations sexuelles hors mariage, etc.), la chercheuse aurait décidé d’utiliser cette locution neutre, pour calmer les débats.
Invariable |
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génération X \ʒe.ne.ʁa.sjɔ̃ iks\ |
génération X \ʒe.ne.ʁa.sjɔ̃ iks\ féminin
La génération X, coincée entre celle des baby-boomers et des milléniums, n'aura été qu'une génération de transition. Peu nombreuse et précaire économiquement, la génération X porte bien son nom, car elle n'a pas une forte identité et aura eu peu d'influence sur les valeurs québécoises. Elle n'aura jamais réussi à s'affranchir de la génération des baby-boomers. On l'a aussi surnommée la génération baby bust ou – encore pire – la génération sandwich.— (Jean-Marc Léger et autres, Le code Québec, Montréal, Éditions de l'Homme, 2016, pp. 223-2241)