garable

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Étymologie

(1845)[1] Dérivé de garer, avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
garable garables
\ɡa.ʁabl\

garable \ɡa.ʁabl\ masculin et féminin identiques

  1. Que l’on peut garer.
    • Pourtant, sa première acquisition, à l’âge de dix-huit ans, fut moins sportive, puisque son choix se porta sur un corbillard Citroën de 1932. Véhicule d’une très grande dignité, mais difficilement garable et laissant peu d’espace au conducteur et à son passager, tout étant, bien entendu, réservé à la place du mort. — (Stéphane Hoffmann, Voyage à l’Ouest: Dix étapes en Loire-Atlantique, Albin Michel, Paris, 1991)
    • Diogène, dans son tonneau routier, garable aussi facile qu’une voiture ordinaire, accomplit son rituel vital n’importe où, au cœur le plus fiévreux des villes comme dans les paysages les plus sublimes de la nature. — (Jack Thieuloy, Diogène de Tarascon, Balland, Paris, 1993)
    • Habitabilité et praticité sont plus que jamais au programme, mais toujours dans un gabarit modéré, facilement garable. — (Alain-Gabriel Verdevoye, Renault renouvelle son emblématique Kangoo sur un marché dominé par les Français, challenges.fr, 8 avril 2021)

Antonymes

Traductions

Anagrammes

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Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 202.