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gardes-côtes \ɡaʁ.dkɔt\ masculin et féminin identiques
- Pluriel de garde-côte.
: il me dit que le roi de Dannemarck avoit accordé à une compagnie , formée à Copenhague , le privilége exclusif du commerce d'Islande; que tout bâtiment étranger, que tout bâtiment même Danois, autre que ceux de cette compagnie, étoit dans le cas de confiscation s'il étoit pris sur les côtes d'Islande; que la compagnie entretenoit des gardes-côtes, pour soutenir ses droits & s'emparer des navires interlopes; que ces gardes-côtes s'étoient rendus maîtres il y a trois ans, de deux bâtimens de Dunkerque qui avoient été vendus à Copenhague; .
— (Yves Joseph de Kerguelen de Trémarec, Relation d'un voyage dans la mer du Nord, aux côtes d'Islande, du Groenland, de Ferro, de Schettland, des Orcades & de Norwège; fait en 1767 & 1768, Paris : Imprimerie du Prault, 1771, p. 3)
- Les gardes-côtes constituent un corps organisé pour la défense des côtes contre les descentes de l'ennemi et l'invasion des pirates. . Cette défense fut confiée, dès son organisation, aux paroisses riveraines de la mer jusqu'à demi-lieue de la côte, et était regardée comme une charge, conséquence nécessaire de la situation des habitants. Les citoyens, ainsi organisés, étaient désignés sous la dénomination de guet de la mer ou gardes-côtes. — (A. Bost, « Garde », dans l’Encyclopédie du dix-neuvième siècle: répertoire universel des sciences, des lettres et des arts, 3e édition, tome 11, Paris : au bureau de l'Encyclopédie, 1870, p. 317)