garnissable

(1845)^[1] Dérivé de garnir, avec le suffixe -able.

garnissable \ɡaʁ.ni.sabl\ masculin et féminin identiques

1. Que l’on peut garnir.
   • Les seules peluches faites avant cette époque, soit noires, soit de toute autre couleur unie, pour chapeaux d’homme et de femme, non-seulement n’avaient qu’un envers non garnissable, la chaîne en coton y dominant des quatre-cinquièmes, mais encore n’étaient pas brochées. — (Jean Bezon, Dictionnaire général des tissus anciens et modernes, tome III, F. Savy, Paris, 1857, page 200)
   • Dans cette cour, une écurie et un large hangar avec poulailler, pompe, bassin pour laver, grenier, cellier, etc., représentant, avec la maison, une superficie logeable et garnissable douze fois plus étendue que l’appartement qu’occupaient les Vallensolles, rue du Cherche-Midi, à Paris. — (Ernest Lionnet, Le Pré aux Biques, dans L’Ouvrier, n^o 1332, Paris, 6 novembre 1886, page 218)

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