Singulier | Pluriel |
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grenadage | grenadages |
\ɡʁə.na.daʒ\ |
grenadage \ɡʁə.na.daʒ\ masculin
Il faut regretter pendant cette période la perte du Foucault (lieutenant de vaisseau Devin) détruit par grenadage et bombes d'avions, le 15 septembre 1916, à 10 nautiques au large de Cattaro.— (Francis Dousset, Henri Le Masson, Les sous-marins français des origines (1863) à nos jours, éd. de la cité, )
On notera ensuite que le grenadage semble avoir , plus que la charge , la faveur des policiers.— (Olivier Fillieule , Stratégies de la rue, éd. Presses e Sciences po, 1997)
La tactique est toujours la même : grenadage très intense de la barricade et de ses abords, au lance-grenades, puis à la main, .— (René Backmann, Lucien Rioux, L'explosion de mai, 11 mai 1968, éd. R. Laffont, 1968)
Contre les sous-marins en plongée nos bateaux peuvent lancer un chapelet de puissantes grenades ; mais, faute d'appareil pour repérer le sous-marin sous l'eau, le grenadage se fait au jugé, c'est-à-dire à l'aveuglette.— (Paul Auphan, Jacques Mordal , La marine française dans la Seconde guerre mondiale, éd. France-empire, 1976)