grincherie

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot grincherie. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot grincherie, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire grincherie au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot grincherie est ici. La définition du mot grincherie vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition degrincherie, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

Dérivé de grincheux, avec le suffixe -erie.

Nom commun

Singulier Pluriel
grincherie grincheries
\ɡʁɛ̃ʃ.ʁi\

grincherie \ɡʁɛ̃ʃ.ʁi\ féminin

  1. (Rare) Caractère grincheux d’un propos ; caractère grincheux d’une personne.
    • Ils avaient, eux aussi, amené leur public, et ce public avait également ses notables, ses célèbres, ses illustres, qui étaient venus exactement avec les mêmes sentiments de bienveillance, d'inquiétude, de rancune secrète, et de grincherie que les autres, les amis et les anciens des lettres et des arts. — (Louis-Xavier de Ricard, Les foucades de la duchesse, chap. XI ; Félix Juven éditeur, Paris, 1903, page 237)
    • La grincherie de Lacroix dérangeait leur manie et ils ne lui pardonnaient pas le trouble qu’il jetait, maintenant, parmi eux. — (Armand Silvestre, Histoires gaies, Jules Fabien, première partie, VII ; Ernest Flammarion éditeur, Paris, 1903, page 80)
  2. (Rare) Propos grincheux ; parole ou remarque grincheuse.
    • Mais à côté de ces grincheries de vieil homme gâté, que de points de vue originaux sur tous les sujets, quelle largeur d'horizon, quelle curiosité universelle ! — (Michel Tournier, Lieux dits, “Weimar” ; Mercure de France, coll. “Folio 2€” no 3699, Paris, 2002, page 37)
    • Turlututu ! lui dit Yolande en lui fermant la bouche de sa main mignonne, vous m'ennuyez avec vos grincheries perpétuelles, et vous feriez bien mieux de venir m'aider à trouver la puce qui me ronge. — (Richard O´Monroy, L'être ou ne pas l'être, “La puce” ; P. Arnould libraire-éditeur, Paris, 1890, page 33)