Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | haendélien \ɛn.de.ljɛ̃\ |
haendéliens \ɛn.de.ljɛ̃\ |
Féminin | haendélienne \ɛn.de.ljɛn\ |
haendéliennes \ɛn.de.ljɛn\ |
haendélien \ɛn.de.ljɛ̃\
Certains oratorios haendéliens se présentent ainsi comme de véritables catalogues des procédés du word-painting, tels par exemple Israel in Egypt (1739), L’Allegro, il Penseroso ed il Moderato (1740), ou encore Joshua (1748).— (Suzy Halimi, La nuit dans l’Angleterre des Lumières, 2008, page 126)
L’ambivalence du jugement de Goldsmith, globalement élogieux mais sévère sur un aspect bien spécifique de l’écriture haendélienne, est particulièrement représentative.— (Musique et littératures : Intertextualités, 2002, page 115)
Souhaitant au départ mettre à l’épreuve les archétypes la scène élisabéthaine (comme David Bobée le fait actuellement avec les héroïnes haendéliennes), afin de déshypostasier un certain « féminin imaginaire », Simon Stone dilue plus intensément qu’à son habitude le matériau littéraire dans une nouvelle saga qui tient plus de la « vengeance aux yeux clairs » (pour les plus ignares : nom d’une épopée TF1 avec Laëtitia Milot) que des « trois royaumes » horrifiques et édifiants (enseigne du traiteur chinois qui sert de décor à l’épisode inaugural) que cette fresque est censée décliner.— (site www.iogazette.fr)