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(1848, dans le sens 2) De l'anglais highlife (« haute vie, grande vie »). Le nom de highlife pour le genre musical s’explique par le fait que celui-ci était initialement joué dans les clubs de la côte ghanéenne fréquentés par la classe aisée : « les personnes qui n’avaient pas accès aux clubs appelaient cette musique highlife car elles n’avaient pas le rang social de celles qui s’y trouvaient, qui non seulement payaient un prix d’entrée très élevé, mais devaient aussi porter des tenues de soirée complètes, incluant des chapeaux haut-de-forme si elles en avaient les moyens »[1].
Saxophoniste, pianiste, chanteur, Fela apparaît comme le musicien africain le plus connu du continent et comme un opposant politique de première grandeur. D’abord musicien de highlife (mélange de rythmes traditionnels ghanéens, de jazz et de fanfare), il découvre la soul américaine et donne naissance à l’afrobeat (croisement de la soul et du highlife).— (Mort de Fela, Journal de l’année, Larousse, 1998, page 124)
On écoutait de la musique toute la journée et je découvrais de nouveaux styles comme le highlife, l’afrobeat, le funk, la soul, la rumba.— (Gaël Faye, Jacaranda, Grasset, 2024)
Ce regard la signait grande dame, femme de highlife, malgré la bourgeoise épaisseur de ses formes et l’enluminure de son teint.— (Théophile Gautier, Les Deux Étoiles, Librairie de Tarride, 1848, page 55)
Le défilé s’achevait. Les dernières calèches ne faisaient point partie de la cavalcade. Elles appartenaient au highlife et circulaient, promenant les curieuses élégantes qui s’y prélassaient.— (M. du Campfranc, La comtesse Madeleine, Journal de Roanne, 05/06/1885, page 1)