Singulier | Pluriel |
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immunologie | immunologies |
\i.my.nɔ.lɔ.ʒi\ |
immunologie \i.my.nɔ.lɔ.ʒi\ féminin
L’endocrinologie et l’immunologie par exemple insistent sur une approche systémique : l'accent n'est pas mis sur l’agent causal des maladies, mais sur les capacités du corps à répondre à ces agents, ce que les médecins français appellent le « terrain ».— (L'homéopathie une pratique à histoires : Un temps fort : La crise des années trente, La Recherche, no 310, juin 1998, page 70)
Un article du Stern allemand intitulé Die Unbesiegbaren (« Les invincibles ») fait état d’une enquête d’où il ressortirait que les adultes les plus résistants aux maladies ont eu une enfance maladive. Illustration du mot de Nietzsche : « Tous les coups qui ne me tuent pas me fortifient. » Principe de l’immunologie : le vaccin est un coup qui ne me tuant pas me fortifie. Il en résulterait aussi que la récente disparition des « maladies d’enfance » (oreillons, varicelles, coqueluche, appendicite, etc.) ferait des adultes moins résistants.— (Michel Tournier, Journal extime, 2002, Gallimard, collection Folio, page 72)
« Ils sont plus vulnérables les premières années parce que leur système immunitaire est immature », explique Athina Fouriki, pédiatre spécialisée en rhumatologie et immunologie pédiatrique à Lausanne.— (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 2 février 2024, page 4)