| Singulier | Pluriel | |
|---|---|---|
| Masculin | impressionneur \ɛ̃.pʁɛ.sjɔ.nœʁ\
|
impressionneurs \ɛ̃.pʁɛ.sjɔ.nœʁ\ |
| Féminin | impressionneuse \ɛ̃.pʁɛ.sjɔ.nøz\ |
impressionneuses \ɛ̃.pʁɛ.sjɔ.nøz\ |
impressionneur \ɛ̃.pʁɛ.sjɔ.nœʁ\
M. Fournié fait des couches optiques l'aboutissant de ce qu'il nomme les fibres impressionneuses. En somme, on s'accorde généralement à les regarder comme adaptées à la réception et à la transformation des sensations, ainsi que pouvait, le faire prévoir leur situation sur le trajet des fibres spinales postérieures.— (Revue d'anthropologie, éd. C. Reinwald, 1877, vol.6, page 285)
Les corps striés, analogues aux amas de substance grise que l'on trouve dans le segment antérieur de la moelle, sont constitués par des cellules motrices. Ici, comme dans la moelle, ces cellules reçoivent l'incitation des cellules impressionneuses, et à leur tour elles provoquent dans les fibres motrices un mouvement corrélatif aux incitations que leur transmettent les cellules impressionneuses.— (Séance du 12 novembre, Archives générales de médecine, Paris : chez P. Asselin, 1872, vol. 2, page 745)
La région numéro 1 comprend les nerfs impressionneurs, c'est-à-dire les nerfs qui portent vers le cerveau le résultat d'une impression reçue, et qui occupent la partie postérieure de la moelle épinière.— (Abbé François Napoléon Marie Moigno, Les splendeurs de la foi: accord parfait de la révélation et de la science de la foi et de la raison, éd. Blériot frères, 1881, vol. 3, p. 1421)
Mais il peut y avoir plusieurs objets impressionneurs présents, partant plusieurs impressions et plusieurs émotions en jeu. Alors la sélection s'opérera par le principe de force majeure.— (Revue de théologie et philosophie et compte-rendu des principales publications scientifiques, éd. Georges Bridel, 1965, vol. 7, page 378)
| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| impressionneur | impressionneurs |
| \ɛ̃.pʁɛ.sjɔ.nœʁ\ | |
impressionneur \ɛ̃.pʁɛ.sjɔ.nœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : impressionneuse)
Au milieu de ce monde, la duchesse avait grand mal à conserver une vertueuse impassibilité; par leurs talents, leur valeur, leur physique, leur naissance, même leurs vices, tous ces hommes étaient des impressionneurs, elle une impressionnable.— (Alfred Marquiset, La duchesse de Fallary (1697-1782): d'après des documents inédits, éd. H. Champion, 1907, p. 143)