inconquérable

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Étymologie

(1801) Dérivé de conquérir, avec le préfixe in- et le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
inconquérable inconquérables
\ɛ̃.kɔ̃.ke.ʁabl\

inconquérable \ɛ̃.kɔ̃.ke.ʁabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui ne peut être conquis.
    • Si le particulier qui fait la guerre contre le roi, peut se faire soutenir par un ami, alors le roi seul n’en vient pas à bout. Le nommé Andriz Samba, à Cabende, possédait sept-cents garçons ; il était réputé inconquérable, et le roi le ménageait comme un homme qui pouvait tout, pour ou contre lui. — (L. Degrandpré, Voyage à la côte occidentale d’Afrique, fait dans les années 1786 et 1787, tome premier, Dentu, Paris, 1801, page 187)
    • s’il m’est donné jamais de faire revivre dans mes vers les rois de ma patrie et Arthur soufflant la guerre jusque sous la terre qui le couvre, de chanter de magnanimes héros, des chevaliers de l’inconquérable Table ronde, ces frères étroitement unis. — (John Milton, cité par Edmond de Guerle, Milton: sa vie et ses œuvres, Michel Lévy frères, Paris, 1868, page 75)
    • Ils devaient envahir une nation puissante et la conquérir sur son propre sol. Et cependant l’on affirmait que jamais peuple libre n’avait été effectivement soumis, et que le Sud se montrerait aussi obstiné et inconquérable que la Suisse l’avait été pour l’Autriche ou l’Espagne pour Napoléon. — (H.-Émile Chevalier, Grant sur le champ de bataille, dans la Revue moderne, tome 53, Paris, 10 juillet 1869, page 746)

Antonymes

Traductions

Références