indévoilable

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot indévoilable. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot indévoilable, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire indévoilable au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot indévoilable est ici. La définition du mot indévoilable vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deindévoilable, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

(1845)[1] Dérivé de dévoiler, avec le préfixe in- et le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
indévoilable indévoilables
\ɛ̃.de.vwa.labl\

indévoilable \ɛ̃.de.vwa.labl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui ne peut pas être dévoilé.
    • S’il te prend la fantaisie orgueilleuse d’en vouloir pénétrer l’indévoilable secret, d’en sonder l’insondable mystère… adieu le bonheur ! — (Octave Mirbeau, L’Abbé Jules, Ollendorff, Paris, 1888, page 248)
    • Rien de mortel, par conséquent, n’est indévoilable. Jusqu’à quel extrême degré toute beauté reste indévoilable, c’est ce qu’indique en vérité cette formule des Maximes et Réflexions : « Jamais la beauté ne se peut connaître elle-même clairement. » — (Walter Benjamin, Œuvres I: Mythe et violence, Les Lettres nouvelles, Paris, 1971, page 255)
    • Il n’y a pas de savoir sur la femme. Il n’y a que des approximations. En ce sens, elle est indévoilable. — (Jean Sarocchi, La femme indévoilable, dans Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, no 25-26, 1994, page 105)

Antonymes

Traductions

Prononciation

Prononciation audio manquante. (Ajouter un fichier ou en enregistrer un avec Lingua Libre Lingua Libre)

Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 305.