inhospitabilité

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Français

Étymologie

Mot composé de in-, hospitalité, -able et -ité.
  • (Déjà au XVIIe siècle) : Qui auroit crû que le Christianisme enfermât cette barbare inhospitabilité , dont les compagnons d'Enée se plaignoient ci-dessus dans notre 2. chapitre ? — (Suplement du commentaire philosophique sur ces paroles de Jésus-Christ : Contrain-les d'entrer..., anonyme (Pierre Bayle), Hambourg : chez Thomas Litwel, 1688, p. 325)

Nom commun

Singulier Pluriel
inhospitabilité inhospitabilités
\i.nɔs.pi.ta.bi.li.te\

inhospitabilité \i.nɔs.pi.ta.bi.li.te\ fémininNote : L'usage du pluriel n'est pas avéré.

  1. (Rare) Fait de ne pas être hospitalier ou accueillant.
    • C'est là, et là seulement, qu'elle a couru de grands périls, du chef de la perfidie des hommes, non de l’inhospitabilité de la nature. — (Paul Leroy-Beaulieu, Le Sahara, le Soudan central et les chemins de fer transsahariens — II : L'Aïr et la région du Tchad, dans la Revue des Deux Mondes, 5e période, tome 12, 1902, p. 115)
    • La pauvreté de l'accessoire domestique dans la Troisième Partie traduit, quoi que Gulliver en dise, l’inhospitabilité foncière des pays traversés — (Françoise Lapraz-Severino, Relativité et communication dans les Voyages de Gulliver de Jonathan Swift, 1988)
    •  ; à d'autres moments ou à d'autres endroits, ils réagissent au contraire à l’inhospitabilité ambiante, aux pressions et même aux agressions qu'ils subissent dans leur nouvel environnement en se crispant sur leur langue et sur leur culture, et en se repliant sur leur communauté d'origine plutôt qu'en cherchant des contacts avec les autochtones. — (Jean-Marc Defays, « Professeur de langues, passeur de cultures », dans Littérature, langue et didactique : Hommages à Jean-Louis Dumortier, sous la direction de Julien Van Beveren, Presses Universitaire de Namur, 2014, p. 34)

Traductions