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Étymologie
- (XVIe siècle)[1] Dérivé de scandaliser, avec le préfixe in- et le suffixe -able.
Adjectif
inscandalisable \ɛ̃.skɑ̃.da.li.zabl\
- Que rien ne peut scandaliser.
La famille du prélat fut une des plus dévergondées de la Régence et du règne de Louis XV : elle avait pour la morale un mépris qui eût dû lui fermer toutes les portes si elle n’avait vécu dans une société inscandalisable.
— (La Revue générale, volume 81, Bruxelles, 1905, page 44)
Mon père, très non conformiste, se plaisait assez à scandaliser ma mère, qui, grâce à lui, devint plus tard inscandalisable.
— (François Hertel, Souvenirs et impressions du premier âge, du deuxième âge, du troisième âge : mémoires humoristiques et littéraires, Alain Stanké, Ottawa, 1977, page 51)
« il faut lutter contre l’habitude d’être écœuré, sous peine d’être inscandalisable ; c’est-à-dire blasé. »
— (Raphaëlle Branche, La torture et l'armée pendant la guerre d’Algérie (1954-1962), Gallimard, Paris, 2001)
Antonymes
Traductions
Prononciation
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Références
- ↑ « neanmoins c’est chose toute certaine, que l’Eglise en son corps general ne peut estre scandaleuse, et l’on peut dire aussi qu’elle est inscandalisable » : A Messieurs de la ville de Thonon, et de la religion prétendue réformée, épitre de de François de Sales, vers 1595.