intrompable

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Étymologie

(1706)[1] Dérivé de tromper, avec le préfixe in- et le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
intrompable intrompables
\ɛ̃.tʁɔ̃.pabl\

intrompable \ɛ̃.tʁɔ̃.pabl\ masculin et féminin identiques

  1. Que l’on ne peut pas tromper.
    • Beaucoup de gens s’attendaient à un coup de foudre de la part de l’Empereur : c’était bien peu le connaître ; à force de le tromper , on lui a donné une défiance presque intrompable ; il ne fera rien brusquement ni sans y regarder de bien près. — (Correspondance diplomatique de Joseph de Maistre 1811-1817, recueillie et publiée par A. Blanc, tome I, Michel Lévy frères, Paris, 1860, page 61)
    • C’est le délai qu’il nous faut, deux années, pour nous rendre compte, d’un seul coup d’œil, intrompable alors, comme l’instinct, des laideurs dont un visage, même en son temps délicieux, s’est chargé. — (Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Paris, Denoël & Steele, 1932)
    • Colette l’aperçut qui dansait avec un garçon de vingt ans ; elle riait très fort, son cavalier beaucoup moins. Impitoyable jeunesse ! Et intrompable sur les âges. « Bien conservée » ou non, une femme mûre est une vieille femme pour un jeune homme ; — (Roger Ikor, Le Tourniquet des innocents, Albin Michel, 1972)

Traductions

Références

  1. « Il acquiert l’habitude intrompable », dans Les commentaires d’Hierocles sur les vers dorez de Pythagore, traduction d’André Dacier, chez Rigaud, Paris, 1706, page 379.