irrepassable

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Étymologie

(XVIe siècle)[1] Dérivé de repasser, avec le préfixe ir- et le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
irrepassable irrepassables
\i.ʁə.pa.sabl\

irrepassable \i.ʁə.pa.sabl\

  1. (Rare) (Vieilli) Que l’on ne peut pas passer deux fois. Note : Surtout utilisé à propos des fleuves des Enfers, que les morts ne traversent qu’une fois.
    • Elle a passé le fleuve irrepassable. — (Alexandre Hardy, Alcée, pastorale, III, 3, dans Le théâtre d’Alexandre Hardy, parisien, tome II, Jacques Quesnel, Paris, 1625)
    • Sait-on, sur l’autre rive de l’Achéron irrepassable, si les morts ne consument pas leur temps (ou notre Temps, cette colliquation absolue) à se souvenir, rétrogradant dans la dissolution organique jusqu’au primordial rameau de calcaire, le squelette, l’empreinte minérale de leur esprit radiographié  ? — (Marc Vaillancourt, Un travelo nommé Daisy, Éditions Triptyque, 2004, page 82)
  2. Qualifie un vêtement, un tissu dont le repassage est impossible.
    • elle est irrepassable sans faire de faux plis de partout et elle se froisse en un éclair évidemment — (La p’tite robe noire, unefillelambda.blogspot.com, 23 juin 2009)

Variantes

Traductions

Références

  1. « A passé du noir Styx la rive irrepassable » : Guillaume de Saluste du Bartas, Les œuvres de G. de Saluste, seigneur du Bartas, Michel Gadoulleau, Paris, 1581, page 54.