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Nom de la lettre additionnelle latine Ꝭ (minuscule : ꝭ) qui été utilisée en latin au Moyen Âge comme abréviation de -is, et en cornique pour -ys et -es.
Du vieil anglais is, issu du proto-germanique *isti, apparenté à l’allemand ist et au néerlandais is, issus de l’indo-européen commun *h₁es-. Cette forme dénote une supplétion car son étymologie est distincte de celle de be.
Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif debe.
This is strange.
C’est étrange.
She is late.
Elle est en retard.
Show that the energy lost per revolution is small compared to the electron’s kinetic energy.— (Allan Adams, 8:04 Quantum Mechanics — Problem Set 1, Massachusetts Institute of Technology, 05/02/2013 → lire en ligne)
Notes
Ce mot est l’une des quatre formes irrégulières de la troisième personne du singulier du présent. Les autres trois sont does, has et says.
La particule est utilisée au présent et au futur pour identifier ou définir un sujet comme étant la personne ou l’objet identifiée dans le prédicat de la phrase. Il est parfois utilisé avec des noms et des adjectifs attributs, notamment dans certaines phrases idiomatiques. Il est utilisé pour introduire des phrase clivée, très commune en gaélique irlandais. Il ne s’agit pas d’un verbe.
La copule n’existe pas à l’impératif et n’a pas de forme nominale analogue à un nom verbal. La phrase bíido (littéralement « être dans ta » est utilisée comme impératif à la place (par exemple bí i d’fhear!, littéralement « sois un homme ») et des constructions nominales non copulaires équivalentes doivent être utilisée à la place de leurs équivalents copulaires hypothétiques (par exemple bheithábalta, « être capable », à la place d'une forme nominale inexistante de is féidir ; bheithagiarraidh, « vouloir », à la place de la forme nominale non existante de is mian le ; bheithina, « être », comme pour l'impératif, etc.
Dans les formes au comparatif et au superlatif, is est strictement parlement la forme relative de la copule, ainsi an buachaill is mó signifie littéralement « le garçon qui est plus grand », c'est-à-dire « le plus grand garçon ». L'objet comparé est introduit par ná.
De l’indo-européen commun *ei- (« ce ») que l'on retrouve dans la forme fléchie ei, eius, etc. Le nominatif is, ea, id est une forme réduite pour *eis, eia, eid.
Il s’oppose à quis selon un schéma que l’on retrouve en latin entre :
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →
Léon Fleuriot, « La découverte de nouvelles gloses en vieux-breton », dans Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1959
Is acher in gaith innocht.— (St. Gallen, p. 112, TP II 290.4, in George Broderik, « Latin and Celtic: the Substantive Verb », Glotta, 2015, page 4)
Le vent est fort ce soir.
Notes
Cette forme verbe est la copule, qui se distingue du « verbe substantif » at·tá. La copule est utilisée avec un nom et pour introduire une phrase clivée.