Singulier | Pluriel | |
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Masculin | jacksonien \dʒak.sɔ.njɛ̃\ |
jacksoniens \dʒak.sɔ.njɛ̃\ |
Féminin | jacksonienne \dʒak.sɔ.njɛn\ |
jacksoniennes \dʒak.sɔ.njɛn\ |
jacksonien \dʒak.sɔ.njɛ̃\
Les États-Unis sont entrés dans une phase jacksonnienne de leur politique étrangère, leurs interventions extérieures n’étant destinées qu’à assurer leur sécurité intérieure, et sans engagements à long terme.— (« De l’Algérie au Soudan, les répliques du ‹ printemps arabe › », Hicham Alaoui, Le Monde diplomatique, mars 2020, page 5)
Singulier | Pluriel |
---|---|
jacksonien | jacksoniens |
\dʒak.sɔ.njɛ̃\ |
jacksonien \dʒak.sɔ.njɛ̃\ masculin (pour une femme, on dit : jacksonienne)
L’influent politologue Walter Russell Mead, du Council on Foreign Relations insiste souvent sur la nécessité d’effectuer un distinguo entre les néoconservateurs et les jacksoniens, les deux principaux courants qui ont été en poste depuis l’élection de George W. Bush. Influencés par les méthodes musclées et expéditives du président Andrew Jackson (1829-1837), les jacksoniens sont des nationalistes intransigeants, des partisans de la manière forte, mais contrairement aux néoconservateurs, ils se désintéressent du nation building et ne prétendent nullement exporter la démocratie.