Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
kanuri | kanuris |
\ka.nu.ʁi\ |
kanuri \ka.nu.ʁi\ masculin et féminin identiques
Docteur en géographie de la même université, Maman Waziri Mato est un Nigérien d’origine kanuri mais familier du sud-est du Niger, à dominante hausaphone (comprenant aussi d’importantes minorités peul et bouzou), où se situe la présente étude.— (Michel Adam, « Mondher Kilani et Maman Waziri Mato, Gomba Hausa. Dynamique du changement dans un village sahélien du Niger. Lausanne, Payot, 2000 (« Anthropologie-Terrains»). », Études rurales, numéro 159-160, 2001, lire en ligne)
Au cours de mes recherches sur l’histoire du Bornū, j’ai pu mettre au jour un vocabulaire kanuri inconnu jusqu’ici.— (Dierk Lange, « Un vocabulaire kanuri de la fin du XVIIe siècle », Cahiers d’études africaines, volume 12, numéro 46, 1972, page 277)
Invariable |
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kanuri \ka.nu.ʁi\ |
kanuri \ka.nu.ʁi\ masculin, au singulier uniquement
Quatre autres idiomes parlés au Niger apparaissent comme langues d’enseignement souhaitées : le fulfuldé, le tamashek, le zarma et le kanuri.— (Pascal Singy et Fabrice Rouiller, « Les francophones face à leur langue : Le cas des Nigériens », Cahiers d’études africaines, 2001, numéro 163–164, lire en ligne)
Dès lors de deux choses l’une : ou bien les informateurs appartenaient à l’une des petites tribus païennes au sud du Bornū qui étaient périodiquement soumises à des razzias d’esclaves, ou bien ils étaient nés à Tripoli où, au contact d’autres esclaves africains, ils avaient appris des rudiments de kanuri et de hausa.— (Dierk Lange, « Un document de la fin du XVIIe siècle sur le commerce transsaharien », Revue française d’histoire d’outre-mer, numéro 66, 1979, page 213)
Les études très importantes que S. W. Koelle a consacrées au kanuri ont été publiées en 1854.— (Dierk Lange, « Un vocabulaire kanuri de la fin du XVIIe siècle », Cahiers d’études africaines, volume 12, numéro 46, 1972, page 277)
kanuri \Prononciation ?\