À côté de chacun d'eux se trouve la lecture en Katakana, et au dessous les mots japonais correspondans, pareillement en Katakana, avec des définitions en chinois.— (Ernest Augustin Xavier Clerc de Landresse, Catalogue des livres imprimés, des manuscrits et des ouvrages chinois, tartares, japonais, etc., composant la bibliothèque de feu M. Klaproth, Paris, 1840, page 56)
Ces trois espèces d'écriture, qui s'écrivent de haut en bas, sont le firokana pour les ouvrages composés en langue vulgaire, le katakana pour les commentaires et autres ouvrages du même genre, et les caractères chinois proprement dits, n'ayant qu'une valeur phonétique et employés comme signes phonétiques pour la haute littérature.— (William Duckett, Dictionnaire de la conversation et de la lecture, Paris, 1853, page 559)
Il est bon de remarquer que, parmi les quarante-sept caractères japonais kata-kana, quatre seulement conservent la totalité des traits constitutifs des signes chinois qui leur ont donné naissance.— (Léon de Rosny, Introduction à l'étude de la langue japonaise, Paris, 1856, page 15)
Invariable |
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katakana \ka.ta.ka.na\ |
Singulier | Pluriel |
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katakana | katakanas |
\ka.ta.ka.na\ |
katakana \ka.ta.ka.na\ masculin
Et au troisième étage, les mots Club Gaïa en rose fluo sur fond jaune. En caractères romains et en katakana, l’alphabet syllabaire utilisé pour la transcription des termes étrangers.— (Dominique Sylvain, Kabukicho, Viviane Hamy, 2016, réédition Points, 2018, page 111)
Invariable |
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katakana \ˌkɑ.tə.ˈkɑ.nə\ |
Singulier | Pluriel |
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katakana \ˌkɑ.tə.ˈkɑ.nə\ ou \ˌkɑ.tə.ˈkɑː.nə\ |
katakanas \ˌkɑ.tə.ˈkɑ.nəz\ ou \ˌkɑ.tə.ˈkɑː.nəz\ |
katakana \ˌkɑ.tə.ˈkɑ.nə\ (États-Unis), \ˌkɑ.tə.ˈkɑː.nə\ (Royaume-Uni) généralement invariable