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knout | knouts |
\knut\ |
knout \knut\ masculin
Le supplice du knout.
Donner le knout.
Le malheureux mourut sous les coups du knout.
...entre ces larges épaules, il y avait place pour cent coups de cravache, — ou de knout.— (Paul Féval, Les Mystères de Londres, 1844)
— Ne vois-tu pas, maman, que c’est un Polonais tellement fait au knout, que Bette lui rappelle cette petite douceur de sa patrie.— (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
M. Blokh en avait autrefois gagné le noyau en fournissant à l’armée russe des riz dont l’empire des Indes lui-même aurait refusé de nourrir ses administrés en temps de famine ; et même cela lui avait valu, au front de ces troupes qu’il avait failli affamer, une promenade du matin, en pyjama, et dont un knout rythmait l’allure.— (Paul-Jean Toulet, Mon Amie Nane, 1922)
Huâ ! Huâ !… (Varichkine eut une rire qui résonnait comme des claquements de knout.)— (Maurice Dekobra, La Madone des sleepings, 1925, réédition Le Livre de Poche, page 59)
Ni les proclamations programmatiques, ni l’ « idéologie », ni le knout, ni l’hôpital psychiatrique ne suffisent pour le déclencher.— (Cornélius Castoriadis, Devant la Guerre, Œuvres complètes, Guerre et Théories de la Guerre,volume VI, Éditions du Sandre, page 229)
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knout \naʊt\ |
knouts \naʊts\ |
knout