kpele \kpɛ.lɛ\, \kpe.le\ masculin
Aussi le kpele et le kisi, proportionnellement à leur faible pourcentage démographique, ont-ils peu de locuteurs en Basse Guinée.— (Abdourahmane Diallo, « Contact entre les langues mandé et atlantiques en Guinée », Université de Nice, Séminaire Contact des langues, 21 avril 2006)
Pour le kpele, on avait déjà une phonologie de Welmers, datant de 1962.— (Jean Léonce Doneux, Histoire de la linguistique africaines : des précurseurs aux années 70, Université de Provence, 2003, page 169)
La Guinée, en la personne de son chef Sekou Touré, n’affirmait-elle pas tout récemment sa volonté de n’être ni francophone ni anglophone et de vulgariser sur place, à partir des langues locales, malinke, susu, pular, kpele, kisi, « les techniques scientifiques et la technologie » ?— (Jacques Champion, « Le français et les langues africaines dans l’enseignement en Afrique noire francophone », Tiers-Monde, tome 13 numéro 52, 1972, « Le capitalisme périphérique », page 831)