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Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
léopoldiste | léopoldistes |
\le.o.pɔl.dist\ |
léopoldiste \le.o.pɔl.dist\ masculin et féminin identiques
Maurrassisme ? Dans le camp léopoldiste, il y eut certainement des disciples du célèbre écrivain nationaliste français. Toutefois, les chouans furent bien moins nombreux que les constitutionnels. Parmi ceux-ci, La Libre Belgique dont on connaît l’hostilité aux thèses du maître de l’Action Française.— (Robert Meire, Le Léopoldisme, P. Legrain, Bruxelles, 1986, page 136)
Fascisme ? Ne le prétendront que ceux qui associent méchamment ce terme à l’attachement à l’identité nationale et aux valeurs morales de l’Occident. Mais, bien évidemment, la réponse ne peut être que négative, si l’on se réfère à ce qu’a été historiquement le fascisme, si l’on se rappelle que le ministre De Vleeschauwer qui, en 1940, rallia Londres bien avant MM. Pierlot et Spaak, était un léopoldiste ardent, que la plupart des chefs léopoldistes ont été des combattants, des résistants, des prisonniers de guerre ou des prisonniers politiques sans reproche, que le rôle des résistants royalistes a été essentiel dans la libération et la sauvegarde du port d’Anvers, que le seul monument commémorant les combats de la libération de Bruxelles est marqué du monogramme L III, porté par les héros du Mouvement National Royaliste dont il honore le sacrifice.
Le Belge qui, dans sa frénésie génésique consécutive à la Libération, n’en finit pas de se multiplier, recommence déjà à se diviser. Il se découvre « léopoldiste » s’il va à la messe, et « anti-léopoldiste » s’il fréquente la Maison du Peuple, la section locale du Parti communiste ou même le Parti libéral.— (Stéphane Baurins, André Clette, Histoire du Belge, tome II, Tournesol Conseils SA / Éditions Luc Pire, Bruxelles, 2005, page 215 → lire en ligne)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
léopoldiste | léopoldistes |
\le.o.pɔl.dist\ |
léopoldiste \le.o.pɔl.dist\ masculin et féminin identiques
Fascisme ? Ne le prétendront que ceux qui associent méchamment ce terme à l’attachement à l’identité nationale et aux valeurs morales de l’Occident. Mais, bien évidemment, la réponse ne peut être que négative, si l’on se réfère à ce qu’a été historiquement le fascisme, si l’on se rappelle que le ministre De Vleeschauwer qui, en 1940, rallia Londres bien avant MM. Pierlot et Spaak, était un léopoldiste ardent, que la plupart des chefs léopoldistes ont été des combattants, des résistants, des prisonniers de guerre ou des prisonniers politiques sans reproche, que le rôle des résistants royalistes a été essentiel dans la libération et la sauvegarde du port d’Anvers, que le seul monument commémorant les combats de la libération de Bruxelles est marqué du monogramme L III, porté par les héros du Mouvement National Royaliste dont il honore le sacrifice.— (Robert Meire, Le Léopoldisme, P. Legrain, Bruxelles, 1986, page 136)