laissable

Dérivé de laisser, avec le suffixe -able.

laissable \lɛ.sabl\ masculin et féminin identiques

1. (Extrêmement rare) (Familier) Que l’on peut laisser.
   • Vous aurez vu, dans mes états que Durand vous a portés, que je compte laisser ici à son profit tout ce qui m'a paru laissable. — (Louis-Jules Barbon Mancini-Mazarini (duc de Nivernois), Œuvres Posthumes du duc de Nivernois, page 212, 1807)
   • et lui demanda de téléphoner à Médéric Veilleux et lui dire que sa moitié de cloture n'était pas « laissable comme ça » et qu'il ne « trouvait pas sa part de clôture assez solide et surtout qu'elle n'était pas au bon endroit ». — (Rapports de pratique de Québec, volume 38, page 90, Wilson & Lefleur limitée, 1956)
   • Ainsi Robert Bordeleau souligne combien il était dangereux que sa conjointe démente fume : « Pendant que j’allais à chose (centre sportif)..., c’est l’hiver dernier ça, mais il venait quelqu’un ici parce qu’elle était plus laissable, pis elle fumait, pis elle fumait comme un engin, pis c’était dangereux ». — (Jean-Pierre Lavoie, Familles et soutien aux parents âgés dépendants , page 53, L’Harmattan, 2000)

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