Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
lamartiniste | lamartinistes |
\la.maʁ.ti.nist\ |
lamartiniste \la.maʁ.ti.nist\
Montaigne (1580) dans les Essais, plus particulièrement dans « Des Cannibales » et « Des Coches », nous dresse un portrait de ce que l’on appellera au dix-huitième siècle le « bon sauvage » et nous vante les mérites de ces peuples purs et innocents, sous-entendu à l’inverse des Européens, vils et cruels. Un thème notamment bien repris par la philosophie rousseauiste (Rousseau, 1761) ou lamartiniste (Lamartine, 1820).— (Jean-Claude Bernatchez, « Les indiens du Québec » dans La revue internationale sur le travail, septembre 2022 → lire en ligne)
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lamartiniste \la.maʁ.ti.nist\ masculin et féminin identiques
On y rencontrait aussi Albert Ferland, faisant office de lamartiniste ému et tendre, Arthur de Bussières, bien sûr, habile rimeur épris d’exotisme, de colois et de mots rares aux sonorités parnassiennes, Albert Lozeau qui, bien que perclus, conservait, « dans un corps anémié un souffle si jeune et si vivace ».— (Bernard Courteau, Nelligan n’était pas fou !, 1991)
Tous les lamartinistes —— René Doumic, Gustave Fréjaville, Emile Henriot, Lucas-Dubreton, Maurice Toesca, Henri Guillernin, le marquis de Luppé, Abel Verdier, Jacqueline Bloncourt-Herselin, tout récemment Pasquale Polito qui vit à Ischia et qui vient de publier un livre exhaustif sur les séjours italiens du poète, Lamartine a Napoli e nelle isole del golfo — ont émis des hypothèses, proposé des déductions sans être parvenus à éclairer d’une façon définitive ce qui demeure encore une énigme.— (Pierre de Grosse, « Qui donc était Graziella ? » dans Revue des deux mondes, octobre 1976 → lire en ligne)