Singulier | Pluriel | |
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Masculin | lavarendien \la.va.ʁɑ̃.djɛ̃\ |
lavarendiens \la.va.ʁɑ̃.djɛ̃\ |
Féminin | lavarendienne \la.va.ʁɑ̃.djɛn\ |
lavarendiennes \la.va.ʁɑ̃.djɛn\ |
lavarendien \la.va.ʁɑ̃.djɛ̃\
Mabire n’a jamais caché la fascination exercée par le maître du Chamblac, pas plus que ses réticences à l’égard de l’univers lavarendien.— (Recension du livre de Jean Mabire, La Varende entre nous, paru en 1999 aux éditions Présence de La Varende. Les Amis de Jean Mabire no 16, septembre 2007, page 4.)
Henry de Montherlant et Jean de La Varende appartiennent tous deux à des familles de la petite noblesse française. La prédilection montherlantienne pour l’espace méditerranéen et la préférence lavarendienne pour sa terre natale, la Normandie, lieux empreints d’un fort lien avec le passé, fournissent à ces auteurs la matière d’un grand nombre de récits écrits durant l’entre-deux-guerres.— (Aleide Vanmol, « L’espagnolisme de Henry de Montherlant et le régionalisme de Jean de la Varende. Enjeux nobiliaires d’une géographie imaginaire. ». Neohelicon no 42, juin 2015 (publication en ligne août 2014), pages 105–117. Note : la citation est extraite du résumé figurant en tête de l’article.)
S’il n’est pas le livre le plus connu du maître de Chamblac, ce roman est probablement le plus lavarendien de toute son œuvre. C’est aussi un hommage au modèle de l’auteur : Jules Barbey d’Aurevilly, dont il revendique l’héritage littéraire.— (Thierry Georges Leprévost, « Jean de la Varende : L’homme aux gants de toile ». Patrimoine normand' no 95, octobre 2015. Note : recension du roman L’Homme aux gants de toile, publié en 1943.)
À partir d’un tableau pittoresque, aux accents lavarendiens, de la vie quotidienne d’une famille aristocratique de province après la guerre, le livre bascule peu à peu dans le drame d’un huis-clos étouffant entre le marquis et ses descendants.— (Christian Brosio, « Pour Michel de Saint Pierre, contre Jean d’Ormesson : Destins croisés de l’aristocratie ». Éléments no 163, novembre 2016, page 53. Note : l’article recourait à une opposition entre les romans Les aristocrates (1954), de Michel de Saint Pierre, et Au plaisir de Dieu (1974), de Jean d’Ormesson.)