Singulier | Pluriel | |
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Masculin | lavoisien \la.vwa.zjɛ̃\ |
lavoisiens \la.vwa.zjɛ̃\ |
Féminin | lavoisienne \la.vwa.zjɛn\ |
lavoisiennes \la.vwa.zjɛn\ |
lavoisien \la.vwa.zjɛ̃\
On ne doit pas dire par conséquent que des théories de Stahl et de Lavoisier, l’une soit vraie, l’autre soit fausse ; toutes deux sont imparfaites parce qu’elles sont incomplètes. Les chimistes actuels sont à la fois stahliens et lavoisiens, ils tiennent compte à la fois de l’énergie et de la matière.— (M. W. Odling, Résurrection de la théorie phlogistique, traduit de l’anglais par Edmond Perrier, dans La Revue scientifique de la France et de l’étranger, Paris : chez Germer Baillière, 1871, 2e série (juillet-décembre 1871), page 65)
Le très vieux problème lavoisien - d’une part, supprimer les mots obscurs et alchimiques, fauteurs de troubles, du genre : « dragon mitigé », « calomélas », « poudre d’Algaroth », « sucre de Saturne », « lune cornée », « beurre d’arsenic », et, d’autre part, créer des signes ou techniques rationnelles expressives - se pose de nos jours de façon particulièrement aiguë.— (François Dagognet, Tableaux et langages de la chimie, Éditions du Seuil, 1969, page 165, Champ Vallon, 2002, page 153)
Henry Guerlac, professeur dans cette université, a consacré une grande partie de sa carrière à l’histoire de la révolution chimique et formé avec ses étudiants une véritable école d’études lavoisiennes.— (La Recherche, 1994, numéro 25, page 542)