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E fou cridatz e ausitz pel mon, e doptatz per sa lenga, car el fo tant maldizens que, a la fin lo desfeiron li castelan de Guiana, de cui avia dich mout gran mal.— (Vida de Marcabrun, (transcription de Michel Zink, Les Troubadours - une histoire poétique, 2013, p. 122))
François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
Ausava pas se bolegar. Un nas freg lo saufinava sus las gautas, una lenga doça lo lecava a l’airal dels uèlhs. Èran lo grand lop gris e la loba maire que lo reconeissián.— (Jean Boudou, Contes dels Balssàs)
Il n’osait pas bouger. Un nez froid le flairaient sur les joues, une langue douce le léchait à l’endroit des yeux. C’étaient le grand loup gris et la louve mère qui le reconnaissaient.
Per lo tuar, queu país, tant que parla sa lenga en flors de l’aubre vielh, non n’es pas naissut lo chaçador.— (Marcelle Delpastre, Saumes pagans, 1974)
Pour le tuer, ce pays, tant qu’il parle sa langue en fleurs de l’arbre ancien, le chasseur n’est pas né.
E la nòstra lenga cargada de glòria vièlha demandava qu'a tornar viure. Mistral s'èra levat en Provença. Aubanèl. E quantes, quantes encara qu'esperavan.— (Jean Boudou, Lo libre dels grands jorns)
Et notre langue chargée de gloire ancienne ne demandait qu'à revivre. Mistral s'était levé en Provenve. Aubanel. Et combien, combien encore qui attendaient.
...jurèt que parlariá res pus que l'ebrèu a la sia femna, als seus enfants, als marinièrs e al seu can ... L'ebrèu, lenga mòrta dempuèi mai de dos mila ans, per aquel fat se tornèt reviscolar.— (Jean Boudou, Lo libre dels grands jorns)
... il jura qu'il ne parlerait rien d'autre que l'hébreu à sa femme, à ses enfants, aux mariniers et à son chien ... L’hébreu, langue morte depuis plus de deux mille ans, pour ce fou se mit à revivre.