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Étymologie
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Nom commun
lermuse féminin
- (Stéphanois) Lézard des murailles.
Le fossé est encombré de pierres roulantes, de menthes, de ronces, la lermuse glisse sur les gravois et s'y enfouit, la chèvre apparaît sur les blocs de maçonnerie comme sur un piédestal, les vénérables murs, que les enfants du prophète ne purent franchir, se couchent aujourd'hui par lambeaux dans le fossé, qu'ils comblent ; .
— (Henry Gard, « Le Château d'Albon », dans la Revue du Lyonnais, tome 16, 3e série, Lyon : directeur Aimé Vingtrinier & Paris : chez Dumoulin, 1873, p. 357)Le lézard des murailles. Lacerta muralis. — Connu dans le pays sous les noms de gramusa ou même de regramusa et plus souvent sous celui de larmuse ou même de lermuse. Il est inutile de décrire cet innocent et utile lézard, si connu et si abondant sur les bords des chemins, .
— (David Martin, Reptiles observés dans les Hautes-Alpes, chez L. Jean et Peyrot, 1902, page 8)
- (Par analogie) Gamin souple et vif.
Variantes
Synonymes
Traductions
Anagrammes
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Références
- Eugène Veÿ, Le Dialecte de Saint-Étienne au XVIIe siècle, thèse présentée à la faculté des Lettres de Lyon, Paris : chez Honoré Champion, 1911, p. 83
- Annie Elsass, Jean Chapelon 1647-1694 : œuvres complètes, augmentées des œuvres traditionnellement attribuées à Antoine & Jacques Chapelon en dialecte de Saint-Étienne, Centre d’Études Foréziennes, 1985, note 124, p. 167