losange flamand \lɔ.zɑ̃ʒ fla.mɑ̃\ masculin
L’autre remarque majeure soulevée concerne la structure urbaine proposée basée sur un axe majeur : Randstad, losange flamand, région capitale bruxelloise et le triangle central wallon (Namur, Mons, Charleroi).— (Guy Loinger et Jean-Claude Némery, Recomposition et développement des territoires, 1998)
Bruxelles s’européanisera de plus en plus et, sur le plan économique, sera attirée, pour ne pas dire aspirée, au cours des décennies à venir, par ce que la géographie sociale a défini comme le « losange flamand » d’Anvers-Gand-Bruxelles-Louvain.— (Guido Fonteyn, « Un stand à Lisbonne » dans Jacques Sojcher et Jacques de Decker, Belgique : toujours grande et belle, 1998)
Les radiodiffuseurs communautaires disposent chacun d’un paquet de fréquences qui leur permet d’atteindre 70% de la population du « losange flamand » tel que défini dans le Schéma de structure d’aménagement de la Flandre.— (Ministère de la Communauté flamande, Décret modifiant certaines dispositions des décrets relatifs à la radiodiffusion et à la télévision, coordonnés le 25 janvier 1995, 1er décembre 2000)
À l’échelle régionale, Gand est l’un des sommets du «losange flamand», aire métropolitaine comprenant également Bruxelles, Anvers et Louvain, zone densément peuplée et économiquement bien développée.— (Anouk Herbiet, Stratégie de développement territorial de la ville de Gand, 2009)