Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | lucasien \ly.ka.sjɛ̃\ |
lucasiens \ly.ka.sjɛ̃\ |
Féminin | lucasienne \ly.ka.sjɛn\ |
lucasiennes \ly.ka.sjɛn\ |
lucasien \ly.ka.sjɛ̃\ masculin
Il y a à Cambridge trois chaires de mathématiques : la première fut fondée en 1663 par le chevalier Henri Lucas, et le professeur est appelé Professeur Lucasien. Plusieurs ont été des astronomes célèbres. Le premier professeur Lucasien fut Barrow : Newton lui succéda en 1669, Whiston en 1704 ; ensuite Saunderson ; Colson en 1739, et en 1760 M. Waring. Les revenus sont de 200 livres sterling, ou plus de 5000 liv. de France.— (Joseph Jérôme Lefrançois de Lalande, Astronomie Tome premier, préface page XXVIII, 1742)
Après des mois d’hésitation, Barrow avait conclu que le jeune homme qui, une dizaine d’années plus tôt, était venu le voir pour solliciter son aide pourrait bien être celui qu’ils cherchaient. Le timide garçon du Lincolnshire, à qui il avait enseigné la base des mathématiques, était devenu un homme capable d'une pensée remarquable et originale et d’une extraordinaire ingéniosité. Lorsque Barrow s’était retiré de la chaire lucasienne de mathématiques, il avait recommandé que son successeur soit son ancien élève et l’université ne s'était pas opposée. Cet étudiant exceptionnel s’appelait Isaac Newton.— (Matthew Farnsworth, Newton - La Science du complot, page 2, 2012)
→ Modifier la liste d’anagrammes