Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie est ici. La définition du mot métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition demétaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Composé d’une succession plaisante de préfixes improbables correspondant à des branches de connaissances bien réelles (métaphysique, théologie, cosmologie) associés au mot inventé nigologie, pseudo-science dérivée de nigaud.
Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie. Il prouvait admirablement qu’il n’y a point d’effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux, et madame la meilleure des baronnes possibles.— (Voltaire, Candide, ch. 1)
Dans le premier chapitre, on apprend que Pangloss, le précepteur du jeune Candide et de sa cousine Cunégonde, enseigne la métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, et, dès la fin du troisième chapitre, il apparaît « tout couvert de pustules, ».— (Voltaire : Candide ou l'Optimisme, notes & synthèses : Isabelle de Lisle, conseiller éditorial : Romain Lancrey-Javal, BiblioLycée/Hachette, 2002, page 5)
Variantes orthographiques
Voltaire donc, joue de deux armes majeures : l'ironie et la satire. D'où Pangloss, ce maître ès « métaphysico-théologo-cosmolonigologie », et qui prouvait « qu'il n'y a pas d'effet sans cause et dans le meilleur des mondes possibles ».— (Abdel Aziz Djabali, Candide ou le détour oriental de monsieur de Voltaire, dans La fuite en Égypte: Supplément aux voyages européens en Orient, sous la direction de Jean-Claude Vatin, CEDEJ - Égypte/Soudan, 2012)
L'origine de ces seringues est assez mystérieuse. Avec une petite touche de finalisme à la Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolonigologie et précepteur du Candide de Voltaire, nous serions tentés de dire qu' « elles ont été inventées par la Nature ou par toutes autres forces supérieures voire mystiques, pour répondre à la nécessité d'injecter une substance. »— (Christine Coustau & Olivier Hertel, La Malédiction du cloporte et autres histoires de parasites, Tallandier, 2014)